Je suis profondement sensible au ? si ? cordial de votre lettre, quie me donne grand desir de faire votre connaissance. Malheureusement il y a de grandes chances pour(?) je suis appelé en Normandie à la fin de la semaine prochaine. Si pourtant je m’allardais(?) ici jusqu’à Dimanche, je vous le ferai savoir, sinon il me faut vous prier de remettre de 8 ou 15 jours votre visite. J’ai lu avec une très (?) attention “Pas commes les autres” et déjà (?) N.R.F. aurait fait paraitre ces pages qui avec plais(?) si nous n’etions un peu encumbrés; probablement pourront(?) elles passer en mai, peut-etre meure en avril (Dei(?) de n’etre pas bi-mensual). Me voici très desireux de connaitre votre roman, surtout après ce qu’vous m’en dites. Ne doutez pas des sentiments avec lesquels nous en prendrons connaissance. Hélas ce que vous me dites sur son histoire ne m’etonne pas: les meilleures pages des inconnus, des nouveaux-venus, qui (?) à nous (?) les laissés pour comptes, les nou-(?), de la (?) dont vous parlez, dont(?) le directeur me dirait dernièrement, (?) je lui reprochais de ne plus publier (ou ni peu) de . “Mais où est elle, la littérature? Montrez la moi! Il n’y en a plus”- Nous lui monterons qu’il y en a (?) – et je remercie de nous y aider.